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Bienvenidos en Argentina !

8 Comments

Bercés par les souvenirs d’une terre d’extrêmes et l’euphorie d’avoir côtoyé le ciel d’un peu plus près pendant des jours, nous avons quitté San Pedro de Atacama avec la perspective de reprendre de l’altitude pour franchir encore une fois la cordillère des Andes.

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Les trois jours de repos à San Pedro nous ont permis de bien reprendre des forces tout en passant notre temps à contempler un permanent flot de touristes ultra branchés qui déambulent les rues avec Ray-Ban, flip-flop et un aire de junkie sortie tout droit du Paléo. Jamais, on ne s’était senti aussi « différent » de la meute à laquelle nous appartenons ou appartenions. L’indifférence ou l’intérêt juste superficiel de quelques personnages ont forgé en nous une véritable envie de remonter nous réfugier en montagne loin de tout, loin de cette égoïste effervescence.

Notre choix s’est porté sur le Paso Sico, un col à 4100m mais précédé de quelques relances à plus de 4800m et encore une fois avec rien…Rien !
En selle, les sacoches remplies de nourriture pour affronter les rigueurs du climat et nous nourrir, nous profitons, buvons et tentons d’emmagasiner des souvenirs de ces 100km d’asphalte avant le retour dans la terre et le sable. Ca roule et un léger vent dans le dos nous donne l’impression d’être des oiseaux. Puis la route change peu à peu jusqu’à n’être plus qu’un ruban de terre et pierres orange qui inlassablement mais indéniablement moins vite, continue de défiler sous nos crampons.

Sur le salar d’Agua Calientes, on plante la tente à l’abri d’un vent violent qui tente de nous infliger une première leçon de parapente ! C’est la deuxième fois de TOUT le voyage que nous devons planter toutes les sardines et tous les tendeurs.

Seule source d’eau aux alentours, le salar, comme son nom le suggère, nous fournit de l’eau salée et pas idéale pour cuisiner et encore moins pour boire ! C’est juste dégueulasse pour dire les choses comme elles doivent l’être. Mais c’est de l’eau…

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La journée se poursuit et la perpétuelle sensation de soif renforcée par cette eau salée que nous tentons d’occulter à l’aide de cookies rend certains moments difficiles. Un camp minier d’altitude, où nous sommes accueillis avec une gentillesse encore une fois infinie nous prodigue une soirée avec une petite chambre pour y dormir. Thé, café, cuisine et douche bouillante ne sont que quelques exemples. Merci les gars !

A nos côtés et dans les kilomètres suivants, la nature s’exprime dans une splendeur encore plus saisissante qu’au sud ouest de la Bolivie. Les roches sont teintées de nuances orange intenses ou rouge sang comme si le Grand Canyon, Bryce Canyon, Zion et Canyonland avaient été fabriqués ici avant d’être exportés ! On se passe de mot, on se regarde et on lit dans les yeux de l’autre sa fascination pour cette Terre et ses merveilles.

Il y a des volcans de petite taille qui ont poussé ça et là et on se demande si nous ne serions pas dans le jardin du diable…

Lente descente en direction du col Sico (sans intérêt) puis on atteint la frontière argentine. On y rempli les bouteilles d’eau, on parle un moment avec des gardes-frontières qui doivent un peu s’embêter et on s’enfuit plus au sud.

«  Ca y est Marie….on est en Argentine !!! Houuuuuuuh ! »

Les kilomètres suivants sont durs avec un vent de côté qui doit être un avertissement pour qui osera s’aventurer plus au sud sur les terres de Patagonie…

La route est toujours très mauvaise avec de nombreuses pierres qui roulent dès qu’on les effleure ou au mieux, de profonds bancs de sable qui nous obligent à poser pied à terre puis à pousser. La fatigue est constante et croissante et au moment de dormir après une assiette de pâtes, pas besoin de compter des moutons ou je ne sais quoi.

Les cent kilomètres qui nous séparent du prochain village avec en perspective un bancomat, de quoi nous ravitailler et doucher, sont encore pires. Il y a en permanence du sable avec régulièrement des sections profondes et traîtres qui rendent la progression lente et irrégulière. Mais une fois arrivés à San Antonio de los Cobres, on respire et on s’offre une nuit en auberge histoire de recharger nos batteries ainsi que celles de nos trop nombreux appareils. On découvre un trésor de la gastronomie argentine ; les empanadas. En gros, ça ressemble à un chausson aux pommes sans pomme et à une croustade à la viande sans croustade. Bon bref, c’est juste trop bon ! De petites rissoles remplies de viande de bœuf ou poulet avec d’autres légumes….Ah !

De là, nous avons le choix entre entamer une longue et douce décente en direction de Salta, grande ville du nord ouest argentin ou alors filer plein sud en direction de l’Abra del Acay, le soi-disant plus haut col d’Amérique du sud à 4900m. Bien que l’itinéraire ait l’air dur, on oublie la route asphaltée pour Salta et optons pour le col et sa route de sable et terre…encore une fois ! La montée est dure avec des pentes bien raides et l’altitude s’ajoutant à la fatigue rend l’exercice un peu pénible. Mais bon, les paysages sont superbes et il n’y a pas de trafic ce qui est juste du pur bonheur. On dort un peu avant le col à 4700m à l’abri dans une vieille maison de pierres pour du bétail. Le vent parvient à s’engouffrer entre les pierres mais nullement à nous réveiller compte tenu de la fatigue.

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Les derniers mètres sont avalés sans aucun problème et encore, une fois, la dernière de ce voyage, on touche presque la barre des 5000m avec les doigts. La descente est longue, sinueuse et pleine d’obstacle à éviter. Sept ou huit passages dans des lits de rivière avec 40-50cm d’eau pour bien vérifier si les sacoches sont toujours étanches…elles le sont ! Mais il en est tout autre pour nos chaussures au moment de poser le pied au fond du rio !

Exténués, on arrive à Cachi où nous trouvons un joli endroit avec cuisine pour passer la nuit et nous remettre en forme. On s’envoie 24 empanadas et un litre de bière avant de nous endormir dans un lit….UN LIT !

 

Prochaine cible, Cafayate, une petite ville à fortes traditions viticoles et aux paysages bien verts en comparaison des jours passés. Nichée au pied de la cordillère, le climat y est bon et on découvre le rythme argentin. De 8h à 13h, effervescence, longues files devant les banques et autres institutions puis vient l’heure de la sieste où avant 17h, rien ne se passe ! Et quand on dit rien, c’est rien ! Alors on fait la sieste aussi…

Puis de 18h jusqu’à beaucoup trop tard (genre 2h du mat) les restos s’ouvrent, les terrasses s’animent et la vie reprend le dessus !

Premier arrêt sérieux depuis San Pedro, on marque le coup et on s’enracine l’espace de 3 jours à manger, picoler et plus… On découvre le cépage local Torrontés qui est un blanc fruité et se révèle une belle surprise.

Bien que n’ayant pas encore eu le coup de cœur pour un Malbec, notre opinion change en découvrant un Don David élevé en barrique et juste merveilleux qui accompagnera bien nos viandes respectives. Ah…de la viande…on n’avait pas mangé de viande aussi bonne et aussi « normale » depuis Cuenca en Equateur !!! On est et on reste des carnivores !

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Bref, au moment de repartir, on a deux ou trois kilos chacun en plus en guise de punition…mais bon rien de grave !

On savoure ce goudron que nous avions un peu oublié depuis quelques jours et la moyenne reprend l’ascenseur. Les endroits pour dormir ne manquent pas et moyennant d’emporter assez d’eau, on peut rêver sous les étoiles à peu près partout.

 

Belen approche à grand pas et on pense juste s’y arrêter le temps de remplir les sacoches de nourriture pour les jours suivants avant de poursuivre. Mais le destin nous impose un arrêt prolongé car 2km avant la ville, la soudure de mon cadre lâche sans prévenir. Sur le moment, on est déçu et « énervé » mais après un moment, on n’en revient juste pas qu’elle ait tenu le coup 2000km de pierres et routes caillouteuses puis que sur une route normale, sans coup, sans rien, elle cède si facilement ! Une bonne étoile devait nous suivre depuis là-haut…

Par chance, la ville de Belen abrite un soudeur qui semble faire l’unanimité auprès des gens interrogés…Popy Gutierrez sait souder ! « El es el mejor » nous dit un gars. Cent kilomètres plus loin un policier de la route nous dit la même chose… « Si Popy ha hecho el trabajo…todo bien ». On repart de la ville avec l’espérance en plus dans nos sacoches et la confiance sur le porte-bagage !

La route est terriblement déserte une fois sorti du village. De grandes étendues sans rien nous entourent et on y aperçoit uniquement des cactus et autres arbres à épines sur un sol de sable. Tous les 20km ou plus, on voit de petits oratoires sur le côté de la route où des routiers déposent des présents au pied de la Difunta Correa.
Quelle belle histoire ! – Cette femme parcourait le désert dans la région de San Juan en suivant des troupes armées où son mari combattait. Elle portait avec elle son enfant le jour où elle mourût de soif dans le désert. Des passants retrouvèrent le bébé quelques temps plus tard en train de téter sa défunte mère et grâce à son geste, il avait survécu !

L’histoire est très présente dans les esprits de ceux qui fréquentent la route.
Dans le village suivant, on découvre que les campings font leur grand retour depuis les Etats-Unis ! Quel bonheur de pouvoir jouir d’une douche, de l’eau courante, de l’électricité ou encore d’une table…Et pour l’équivalent de trois ou quatre francs

Après une nuit dans ce premier camping bien calme, on continue en direction de Mendoza avec ce qui deviendra le pire jour du voyage en raison d’un mauvais calcul concernant l’eau…

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Après avoir parcouru 30km, on fait une longue pause dans un petit village où on se gave de Dulce de Membrillo, (pâte à fruit à base coings) et c’est un pur régal puis on remplit les bouteilles d’eau avant d’aller voir plus loin. On traverse en fait une région de 90km désertique et sans rien sur le chemin. Il y souffle un vent chaud dix fois plus caliente que notre foehn alpin ; ces conditions nous assèchent la bouche et par conséquent nous donne envie de boire toutes les cinq minutes. On avance tranquillement mais l’énergie nous lâche peu à peu et la perspective lointaine du prochain village nous paraît intouchable. On gère, on boit une seule gorgée à la fois alors qu’on aurait envie de nous mettre dans un petit ruisseau de nos Alpes. Des images de piscines et de bouteilles de Coca bien fraîches hantent nos instants de doute et de peine. Au moment d’arriver au village tant attendu, on s’aperçoit qu’en fait il n’est pas sur notre route mais 17km plus loin au somment d’une côte ! La ville suivante, Chilecito, se trouve à 29km de notre position et il ne nous reste pas plus de 400ml chacun… On ne parle plus trop car la tension est palpable. On a atteint cet instant dans l’effort où le corps se dissocie de la tête surement par instinct de conservation. On est presque dans un état second et c’est flippant !

On décide de continuer et improviser plus loin… Un long faux-plat se déroule sous nos roues et nous offre un répit de 500m avant de reprendre un vent de face qui nous force à pédaler comme des forcenés alors qu’on serait censé descendre ! Marie explose au bout d’un moment car trop c’est trop…en l’occurrence, pas assez d’eau c’est pas assez d’eau. Nos corps sont vraiment poussés à l’extrême et on le sent bien. Avec le désir de sauter dans un 4×4 salvateur, on s’encourage à aller voir un peu plus loin car il me semble avoir vu au loin une finca (ferme) avec des champs bien verts au milieu de ce désert. On insiste et à coup de pauses tous les 300m, on parvient à une maison qui s’occupe de vignes et il y a un robinet !!! Le gars en charge de l’endroit, devant nos têtes probablement effrayantes et pleines de sel, nous laisse boire toute l’eau de son robinet ! Boire à sa soif devient alors un de ces plaisirs comme si nous avions gagné à la loterie une coquette somme !

De plus, il nous assure que nous sommes proches de Chilecito. Quand les gens nous disent ça, on se méfie toujours mais il s’est avéré que une petite heure plus tard, nous étions posés en ville. Au moment de nous endormir, entre la fin de cette étape et le dodo, nous avons mangé 24 empanadas et un paquet de cookies puis bu 1lt de bière chacun et 3lt de Fanta ! Sans compter évidemment de l’eau….Les ventres tellement plein de liquide, on s’est endormi mais pas à plat ventre !

« Anecdote sur les distances à vélo vues par les gens externes en voitures : En montant notre premier grand col du Pérou, on souffrait un jour car les pentes étaient raides et exposées sous un soleil de plomb que l’altitude ne parvenait pas à rafraîchir. Au détour d’une courbe, une voiture s’arrête remplie de touristes américains qui nous encouragent, tous pouces levés. Keep going guys… 5 minutes more ! On était aux anges de savoir qu’il nous manquait 5min pour être au sommet. En réalité, ce jour là, nous avons mis 1h50 pour le dernier tronçon qui devait durer 5min. Voilà pourquoi nous nous méfions des appréciations externes ! »

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Au départ de Chilecito, nous emmagasinons suffisamment d’eau pour un bataillon mais finalement la fatigue nous rattrape et on fait un modeste 38km jalonné de beaucoup de pause. Le corps a besoin de ralentir et on l’écoute. On se trouve un endroit pour la nuit avec un petit rio et on s’offre une après-midi farniente et détente ! Un grand-papa sur la route nous a même offert un pot de confiture à la pêche qui réveille nos papilles et nous fait penser à ces confitures maison si exquises ! Nuit exceptionnellement calme et petit déjeuner à base de confiture, on reprend la route chargés à 100% et attaquons le canyon de Miranda avec une côte en piste terreuse mais superbe à rouler. Les falaises qui nous surmontent sont teintées de couleurs allant de l’ocre au jaune claire et c’est encore une fois magnifique. On savoure !

A Valle Union, on profite de grills proches de l’où on dort pour nous faire notre première Parrilla avec charbon et viande argentine. Un gars nous aide pour nous montrer la méthode locale qui consiste à faire des braises dans un feu à part, puis de les déposer sous une grille de manière un peu disparate. La cuisson de la viande est ainsi très lente et met dans les 2h ou plus. Mais au final, grâce à cette cuisson basse température sur de la braise, la viande reste juteuse et rien que de l’écrire en ce moment, je sens mes papilles toutes excitées ! Bref…1kg de viande à deux pour 8.-CHF !

Les 450km que nous parcourons en trois jours représentent un défi que nous nous sommes mis tellement tout ce désert est ennuyant. Rien ou peu à voir, un macadam brulant et peu de ville font que les kilomètres défilent bien. On fera même un jour 170km avec vent de face et proche de 9h de selle ! Du coup, en quelques temps, on est aux portes de Mendoza et après une dernière nuit dans le désert entre deux postes de contrôle de police qui nous ont offert de l’eau, on avale les dernièrs 70km pour rentrer dans cette ville immense mais pas trop non plus. Il faut se battre un peu avec les automobilistes mais on s’en sort.

On suit les rues qui nous mènent chez Toto et Vicky, nos logeurs Warmshower et on y est accueillis comme à la maison.

1200km depuis Cafayate et des tas de bons moment avec des très éprouvants aussi. Des rencontres encore une fois uniques et des moments de solitude extrême. Une nourriture et des vins exquis…mais peu d’eau !

Une région magnifique que ce nord ouest de l’Argentine qui nous laissera un souvenir impérissable. Dans les highlights, nous mettrons la vallée de Calchaquies et tout particulièrement depuis le col Abra del Acay jusqu’à Cafayate ! Un tronçon immanquable pour ceux qui viendraient dans la région.

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Un mot pour Toto et Vicky qui découvrent warmshower car nous sommes leurs premiers hôtes. Ils sont merveilleux avec le cœur sur la main et un sens du partage et de la colocation parfait ! Merci à vous deux les AMIS !!!

On partage notre toit avec Audrey et Laurent, un couple qui se balade aussi au gré du vent et des envies sur leurs bicyclettes. Partis depuis Cuba, ils ont découvert l’Amérique centrale et du Sud avec eux-aussi, la soif d’aventure et la curiosité d’aller voir derrière la montagne. Leurs aventures sont à découvrir sur leur page Internet. Mais please…continuez à lire les nôtres ! 😉

 

Une nouvelle fois, nous avons appris sur nos limites psychologiques ou physiques avec la sensation que notre corps est une machine merveilleuse qui vit sur une planète sensationnelle. Indépendamment du cadre cassé du peu d’eau ou des déserts « ennuyeux », l’aventure est palpitante au quotidien et plus que jamais, on poursuit, cap au sud !

Bien que nos cœur et têtes ne soient pas du tout en mode Noël, peut-être en raison des 35°C et de l’été austral, on vous souhaite de belles fêtes de fin d’année et de paisibles vacances. Puissiez-vous profiter de ce temps pour goûter le repos ou l’hyperactivité, la foule ou la solitude, la neige ou le soleil, bref, vivez chaque jour comme si celui de demain pouvait être moins drôle.

On pense encore et toujours fort à vous tous et vous portons dans nos bagages.
Pour les photos, vous connaissez le truc… cliquez !

Comme dit mon papa dans ses mails…Hasta LEGO !

Vos LEGOs Marie et Johann

8 Comments

  1. Bonjour les amis!
    Encore une fois, les qualités d’écrivain du narrateur nous font voyager a tel point qu’on s’imagine a vos côté, vivant vos victoires et difficultés! Il y a beaucoup d’italiens expatrié en Argentine! Et ils ont emmené avec eux beaucoup de traditions, la sieste de l’apres-midi c’est aussi quelque chose qu’on voit a Naple et plus au sud de la botte! Ils ont tout compris;)
    Sinon, revenez avec 1kg de viande d’argentine et apprenez nous ce mode de cuisson qu’utilisent les gauchos! J’en salivais aussi à vous lire!
    Ma chérie et moi vous souhaitons de bonnes fêtes de fin d’année! Et tout le meilleur du monde pour l’année à venir!
    À +

  2. Encore et toujours des paysages plein les yeux et des distances si longues parcourues finalement en si peu de temps. J’admire votre force et courage de toujours persévérer et de se rajouter des défis !

    Bravo aussi de suivre uniquement vos envies ! Louper Salta, c’est presque un exploit pour les voyageurs dans la région, et je pense que vous avez du coup découvert une région très belle aussi (voir plus) !

    Et aussi, je crois que vos estomacs ont gagnés en élasticité ! 24 !! 24″empanadas et 3L de fanta et de la bière par desssus ! Quel place ! 😀

    Ici, le temps va se réchauffer pour noël, ils annoncent 10° a 2’000m pour lundi (c’est rapé pour le ski). Et enfin des vacances! Ahhh ça fait du bien quand même 🙂

    Bon Noël en amoureux, fêtez quand même un peu 😉 et surtout continuez de vivre pleinement cette aventure !

    A++

  3. Coucou les legos! j’ai une question qui me traversent l’esprit puisque vous dites que vous n’êtes pas en mode Noël, avez-vous quand même la notion des dates? gros bisous

  4. Toujours aussi superbe votre récit. Je vais partir un peu plus de deux mois autour du Mékong à vélo début janvier, mais votre récit me renforce dans mon envie fin 2013 de faire Arica au moins jusqu’à San Pedro par le sud Lipez. Je ne partirai pas plus de 40 jours, car hélas je ne roule pas en couple!
    Bonnes fêtes de fin d’année et encore merci
    Luc

  5. Merci pour ce récit, et ces belles photos qui font rêver plus d’un, mais moi je rêve de vous revoir, de vous toucher de vous nourrir enfin bref que vous soyez là à côté de moi. Bonne route pour vos prochaines aventures et soyez prudent.

  6. Bonjour les jeunes!
    On suit avec vous ce beau voyage… même si on fait partie des touristes (??)
    Nous vous souhaitons de belles fêtes, où que vous soyez et une magnifique année 2013
    Amicalement Antoinette et Claude

  7. Ne serait-ce pas le plus bel endroit
    Que vous ayiez traversé depuis 17 mois ?

    Contrastes et dégradés de couleurs
    Donnent à vos photos plus de valeur

    Continuez, chevalière et chevaliers de la petite reine
    à pédaler tous les jours même avec de la peine

    Vous vous crééez des souvenirs
    Qui vous seront précieux à l’avenir

  8. Chers Marie et Johann, de l’hémisphère nord je vous envoie un joyeux Noël dans l’hémisphère sud. Je pense déjà au Noël suivant quand vous serez probablement de retour. Que 2013 vous apporte tout ce que vous souhaitez.
    J’ai particulièrement apprécié les photos de cette étape.
    François

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