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Routes australes, amitiés mémorables, no falta nada !

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« A mi chemin entre l’extrémité australe des Andes et le Pacifique, la Carretera australe se déroule sous nos cadres et guidons en nous emmenant chercher nos limites physiques. La beauté du paysage qui nous entoure est si forte que chaque montée laisse la place à une vue saisissante où toute la force et la perfection de la nature s’exprime violemment sous nos yeux. Les neiges éternelles et les glaciers contrastent avec le bleu du ciel et les vertes forêts et comme si cela ne suffisait pas pour donner la vie à ce tableau permanent, de puissants torrents aux couleurs allant du turquoise au bleu électrique serpentent dans d’étroites vallées et filent tout droit vert l’océan »

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Au départ de Puerto Montt, nous fermons la porte d’une petite cabana qui aura abrité fort bien quatre cyclistes affamés, fatigués et mouillés. Toujours avec Marie et Olivier, nous embarquons sur un bateau pour une mini croisière de 9h en direction de Chaiten où commencera notre route. Les premiers kilomètres se font sur un ruban d’asphalte parfait qui doit sans doute être là pour éviter aux cyclistes de toucher à la route de graviers trop tôt ; ce qui aurait pour conséquences de les voir s’enfuir prématurément ! Première nuit dans un coin de jardin et dès le lendemain, le ton est donné : Ripio ! Ici, cela signifie, route de terre ou gravier jonchée de pierres plus ou moins grandes qui transforment notre quotidien en un cauchemar routier. Les meilleures portions se font à 12-15km/h alors que les pire, entre 4 et 5km/h. Qu’à cela ne tienne, on avance gentiment en prenant soin de ne pas nous abîmer. Comme compagnons de tous les jours, les taons s’unissent sous la forme d’une armée incroyablement fatigante et agaçante. Ils nous tournent autour et réussissent trop souvent à percer nos couches d’habits pour nous laisser les stigmates de leurs trompes.

La route est superbe et les paysages sont encore une fois à couper le souffle. Les glaciers sont proches de nous et les vallées sauvages sont remplies de rivières ou denses forêts.

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Malgré l’humeur festive qui règne dans notre peloton de quatre, la route est un véritable calvaire. La chaussée prend la forme d’une tôle ondulée et les cailloux sont difficiles à gérer lorsqu’il s’agit de les contourner. De fortes pentes se mêlent à tout ça pour rendre quelques portions incroyablement difficiles. Malheureusement, ce qui devait arriver arrivât ; mon cadre lâche encore une fois, probablement en raison de cette route impitoyable. La soudure que nous trainons depuis Belen aura finalement tenu 1700km et désormais, nous sommes de retour à la case départ avec un vélo incapable d’être manÅ“uvré. L’avantage en étant quatre, c’est que le côté « dramatique » de la situation est rapidement masqué par la bonne humeur du groupe et sans avoir encore eu le temps de nous dire que TOUT pourrait s’arrêter, un 4×4 accepte de me prendre moi et ma bicyclette estropiée jusqu’au village suivant à 10km. Puyuhuapi est une petite bourgade au bord d’un bras d’océan pacifique qui dispose d’un charme fou et d’une tranquillité quasi suspecte…En revanche, le lieu ne dispose pas d’un soudeur capable de prendre en charge mon cadre en alu. Après quelques discussions avec les autochtones, le verdict tombe et le seul soudeur qualifié est à Coyhaique, 200km devant nous. Nous nous mettons en quête d’un taxi qui puisse nous emporter les quatre sur ce tronçon afin de trouver de quoi réparer Eddy.

Finalement, un camion fait le trajet vide le sur lendemain et il est d’accord de nous embarquer pour un prix dépassant toute concurrence. Après une journée à tuer le temps et profiter du village, on met le réveil à 4h30 pour embarquer le tout sur le pont du camion.

Heureusement, la tarte au citron d’un hôtel de luxe du coin nous aura permis de garder le moral durant cette journée.

Une fois dans la plus grande ville de la Carretera, je passe ma journée entre chercher un soudeur, retourner acheter des électrodes pour l’aluminium, attendre la pause déjeuner puis assister au spectacle du soudeur. El viejito (le vieux en espagnol) est soudeur depuis 40 ans dans cet endroit et il est le plus expérimenté de tout le sud Chili ; parole de personnes rencontrées. Mon Eddy est donc en de bonnes mains et je confie à des instances plus hautes la suite de la route. La soudure semble belle et bien faite…qui vivra verra !

 

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On reprend la route avec les Dring-Dream en direction de Puerto Ibanez où un bateau nous attend pour traverser le lac General Carrera jusqu’à Chile Chico. De là, on suit la rive sud de ce lac qui est le deuxième plus grand d’Amérique du sud ; la route devient sinueuse et extrêmement pentue par endroit. Evidemment, l’asphalte a laissé place à une route en graviers franchement dégueulasse. N’ayons pas peur des mots !

Le paysage est fascinant et compense aisément la peine que nous avons à avancer sur la carte. Parfois, les pentes de 300 mètres ou plus font plus de 18% et rester sur le vélo devient un challenge digne d’une compétition de VTT.

Les bivouacs nous permettent souvent de faire du feu et par conséquent, on fait du pain quasi tous les soirs. Le pain « de serpiente » (serpent en français) se fait selon la même recette que le pain maison que nous faisions. Seule la cuisson diffère puisqu’en l’absence de four, on forme des boudins de pâtes autour d’un bâton de bois que nous mettons au-dessus du feu. Le résultat est un pain maison cuit au feu de bois que nous mangeons la plus part du temps tiède avec miel et confiture. No falta nada ! Merci à Urs, notre pote cycliste suisse-allemand pour l’inspiration culinaire !

Puis vient un autre lac (lago Bertrand) qui donne naissance au fameux Rio Baker, un monstre du genre qui serpente dans la vallée et s’enfuit vers le pacifique. Il est fameux car c’est lui qui est en cause pour la construction d’un futur éventuel barrage dans la région. Ce projet est au cœur de controverses diverses car il y a les pros et les contres. La route est donc jalonnée de panneaux ou graffitis qui disent non au projet alors que d’autres gens sont favorables. Beaucoup craignent que la Patagonie chilienne change de visage et que les lignes électriques qui vont avec l’ouvrage dénaturent le paysage. Bref, dur de prendre position entre – Maintien du paysage et amélioration des conditions de vie –

On rencontre Sylvain et Carole au détour d’une forêt où observer la naissance du rio. Eux aussi sont en chemin pour une année avec un parcours différent. Ils ont acheté un mini bus camping en Europe pour en parcourir les routes et bien des pays nordiques puis ils l’ont revendu avant de s’envoler pour l’Amérique du sud, sac au dos.

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Après quelques semaines en Bolivie, au Chili et en Argentine, ils ont décidé de s’acheter des vélos à Santiago et de descendre la Carretera Australe sur leurs chevaux d’acier.

On passe du temps avec eux et notre petit groupe grandit pour finalement être composé de six cyclistes.

On arrive à Cochrane où un bungalow nous permet de loger et nous reposer. L’ambiance est au top et le souper délicieux avec une grillade et un crumble. Le petit déjeuner avec du pain maison et du miel local n’est pas trop mal lui non plus.

Bien reposés, on attaque les derniers 200km qui nous mènent à Villa O’Higgins. La première moitié se passe bien malgré une route difficile et en mauvais état. Le beau temps est toujours présent et c’est une chance pour cette région. On atteint un bac qui nous mène de l’autre côté d’un petit lac pour la fin de la route et le petit refuge de bois récemment construit nous permet de dormir à six sans avoir besoin de la tente. Encore une fois l’ambiance est incroyable et Franck, un français à vélo pour 3 mois, qui débarque en cours de soirée participera beaucoup à la chaleur de la soirée. Encore un moment unique autour du feu avec des gens simples mais captivants…comme si la terre s’était arrêtée de tourner un moment pour nous écouter.

On poursuit à quatre le lendemain car Sylvain est Carole prennent un 4×4 et du coup, on se retrouve les Dring-Dream et les Legos en route pour ce qui sera un des plus beaux tronçons. La météo est un peu moins bonne et quelques gouttes de pluie nous font peur mais finalement, ce n’est pas trop désagréable. On monte gentiment le col, puis on redescend avec le col suivant et au moment d’arriver au sommet, il se produit un instant magique. Un de ces instants privilégié dont seuls les modes de transport doux peuvent profiter…Un condor surgit devant nous en plein vol. On s’arrête, on se tait et on contemple à moitié incrédules ce spectacle aérien parfait. Le vent est très fort avec des bourrasques qui nous font tomber mais le condor vole comme s’il était insensible à ces variations de vent. Sans aucun bruit, il joue dans les airs avec un autre de son espèce et les regarder nous rend ivres de joie et d’émotions.

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Merci Mère Nature !

Pour terminer en beauté, on trouve un refuge fait par des gauchos et qu’ils laissent ouvert pour les voyageurs malmenés par les conditions climatiques dures. C’est quatre mètres sur trois de bonheur avec une petite cheminée et de quoi se faire une bonne et chaleureuse soirée à l’abri. On savoure pleinement !

Après une nuit venteuse où plusieurs fois nous avons eu l’impression que tout allait s’envoler, on remet le pied sur les pédales sous une pluie fine et de gros nuages. Heureusement, après une heure, le soleil perce gentiment la couche de nuages et nous permet d’enlever les couches de protection. Après une journée intense avec des paysages superbes et une route bien pénible à appréhender, on arrive à Villa O’Higgins, la fin de la Carretera australe !

C’est une belle étape qui se termine encore une fois au sein de notre voyage. Durant trois semaines, nous avons été littéralement baladés entre montagnes, forêts, glaciers ou rivières spectaculaires. C’est une route à découvrir une fois dans sa vie avant qu’elle ne devienne trop touristique et populaire.

Pour terminer en beauté, Sylvain et Carole nous ont préparé un plat….moche mais délicieux. En gros un mélange de patates bien cuites, de fromages, de saucisses et oignons. Un vrai régal malgré les apparences !

Au petit matin, on enfourche les vélos et on file prendre un bateau, encore un, qui doit nous amener de l’autre côté du lac O’Higgins. Deux heures trente de navigation et un iceberg plus tard, on est à la douane de sortie du Chili. De là, après les formalités d’usage, il nous reste le fameux passage dont tout le monde nous parle depuis un mois. En gros, c’est 22km de calvaire entre les deux pays avec une montée incroyablement raide sur un chemin à mules suivi d’un plateau sauvage avec vent et pluie avant une descente. Mais pas de réjouissance, la descente est annoncée comme difficile….très difficile !

On se met donc en route avec les lacets sur une route remplie de pierres énormes. Impossible ou presque de monter à vélo et on est obligé de pousser les vélos sur des centaines de mètres. Parfois à plusieurs ou chacun pour soit, on pousse, on monte et gentiment on se rapproche du sommet. La récompense du jour arrive au moment de sortir d’un petit bois avec l’énorme Mont Fitz Roy qui s’élève devant nous tel un monstre. Au moment où le petit groupe que nous formons aperçoit cette mythique montagne c’est l’exclamation avec des bouches béantes et quelques larmes au bord des yeux (en tous cas pour moi). C’est un véritable symbole de la Patagonie qui se dresse devant nous. Rien ne semble assez fort pour le faire trembler ou bouger. Il est juste ENORME !

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On continue sur notre plateau qui s’avère finalement pas si terrible et on se dégote même un endroit tranquille pour bivouaquer le temps d’une nuit dans ce no man’s land.

Départ le matin toujours sous une légère pluie fine mais rien de grave et rapidement on rentre en Argentine. De là, tout change et la vitesse de progression passe à une heure pour faire un kilomètre. On doit se faufiler entre racines, arbres morts en travers du chemin, rivières, ornières, cailloux infranchissables. C’est un chemin de croix indescriptible. De tout notre voyage, ces six kilomètres de descente (rappelons-le) auront été les pires mètres à franchir. Tantôt on pousse, tantôt on retient les vélos qui sans nous, dévaleraient la pente. On enlève les sacoches, on porte, on s’entraide pour franchir les obstacles et lorsque le besoin est là, on répare les ponts de bois en mauvais état pour pouvoir les franchir. Bref, après près de six heures de galère, on arrive enfin au bord du lac suivant pour prendre le dernier bateau en direction de El Chalten.

Bien que difficile et hors norme, cette portion aura été aussi un moment merveilleux car l’esprit d’équipe aura permis de le vaincre dans les meilleures conditions possibles. Quelques bleus, un dérailleur et un porte bagage n’auront été que les seuls points noires de cette traversée épique.

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La route qui nous sépare de El Chalten se pédale bien avec un peu de faux plat descente et un bon vent dans le dos qui nous fait voler par dessus les cailloux. On arrive à 19h dans ce village (Chamonix du coin) exténués mais affamés et un petit bungalow partagé à six nous a bien remis du baume au cœur !

On quitte ici Sylvain et Carole qui ont revendu leurs vélos et reprennent la route en bus avec sac au dos. Grâce à eux et leur bonne humeur, nous avons beaucoup ri et passé des moments géniaux.

 

Les premiers huitante kilomètres se font comme des avions de chasse grâce au 60-80km/h de vent dans le dos. C’est comme si on ne touchait pas la route de nos roues. Un virage à 90° à droite et on paie le prix fort en le prenant dans la face ce qui rend les kilomètres suivants terribles à pédaler.

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Même si c’est dur, cela ne nous empêche pas de faire des rencontres encore une fois et on tombe sur Ilse et Günter d’Allemagne. Ils ont chacun 69ans et voyagent régulièrement à vélo dans le monde. Là, ils font « juste la Carretra Australe »…Ils sont incroyables ! C’est comme voir quelqu’un avec un esprit d’ado dans un corps de vieux. Leur devise c’est de ne jamais arrêter de faire quelque chose. Peu importe quoi ou comment, juste faire et ne jamais sombrer dans la sédentarité extrême. Ils sont sans cesse à se marrer, se câliner et s’embrasser comme des jeunes amoureux ! C’est un exemple superbe pour nous !

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Pour la dernière journée avant El Calafate, le vent a décidé de rendre l’étape mémorable. De face directement au saut du lit puis non stop sans jamais faiblir. Finalement, les filles prennent un bus et les garçons, on passe en mode « machine de course » pour essayer de rejoindre la ville en un shot. Au final, on aura fait 105km avec un vent parfois de l’ordre de 60km/h. Mais on l’a fait ! Merci Olivier pour ce moment à deux.

 

Maintenant, il est l’heure de nous séparer. Ceux qui ne le savent pas ou l’ont oublié, mon papa vient le 17 février à Ushuaia avec Christian Chevalley, un ex parrain d’apprentissage devenu ami. A quatre, nous ferons 15 jours de road trip à travers l’Argentine. Affaire à suivre !

Vous l’aurez compris, la fin approche… Encore dix jours de vélo et nous serons à Ushuaia si Dieu le veut bien.

Autre grande nouvelles, nous avons nos billets de retour. Nous rentrerons en croisière depuis Sao Paulo au Brésil jusqu’à Venise en 22 jours. De là, nous reprendrons les vélos pour remonter à la maison mais pas en ligne droite. Arrivée prévue dans le courant du mois de juin.

Pour info, les croisières transatlantiques sont une bonne solution car le prix est le même que l’avion mais avec plus de temps pour profiter. Pour ceux qui prévoient donc un séjour en Amérique du Sud avec assez de temps à disposition, à étudier !

Un immense merci à Marie et Olivier pour ces innombrables moments partagés. On ne compte pas les feux, les bonnes bouffes, les rires et les longs échanges. On craignait les français mais finalement, ils ne sont pas trop mal. Ils parlent beaucoup et pour les faire taire, la seule méthode qu’on a trouvée est d’accélérer dans les montées !!!  On leurs souhaite plein de succès dans leurs projets futurs. Que leurs rêves deviennent réalité et leur chemin se dessine !

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Découvrez notre galerie photos ainsi qu’une autre avec un regard depuis d’autres yeux.

On se réjouit de vous donner des nouvelles une fois au bout du continent !

Marie et Johann

18 Comments

  1. LE RETOUR !!!! Yeeeesssss !

  2. Génial ce petit tronçon reposant

  3. Il a l’air trop bon votre pain

  4. Trop beaux les paysages, me réjouis d’arriver… dans mes rêves

  5. Merci les copains, sans eux vous auriez fait plus long

  6. Joli le Cervin de l’A du Sud

  7. je mets de la mousse à raser dans la valide d’el Padre

  8. Merci pour les news, les photos, la vidéo…ah zut y en a pas et le coup de fil … ah zut y a plus de fil non plus
    Bisous les Pnours

  9. y en a une qui n attend plus que votre retour! trop cool me réjouis aussi de vous revoir. Bonne continuation becs

  10. Merci pour ce beau voyage! J’ai presque la larme à l’oeil…prenez soin de vous!

  11. Moi aussi je me réjouis de vous revoir gros bisous

  12. Sacrée aventure! J’ai l’impression que ça fais une éternité que vous êtes partis et en même temps que c’est hier que nous nous disions au revoir. En tout cas vous arrivez pile poil pour le train de Verbier! 😉
    Hâte de vous revoir, ma chérie vous embrasse et a hâte de vous rencontrer aussi!
    Becs

  13. Trail de Verbier! Correcteur automatique a la noix! 😀

  14. C’est un plaisir de suivre vos aventures dans ce périple qui semble si incroyable et passionnant… Et de grapiller également quelques nouvelles de nos « nomades à nous », Krol et Sylvain !!

    Votre blog est super, très agréable à lire, rempli d’ancdotes sympathiques et de photos sublimes. Bravo ! Et bonne continuation dans votre voyage, belle route et surtout, que de très belles rencontres continuent de ponctuer votre chemin !

  15. 1000 MERCIS pour m’avoir fait découvrir toutes ces contrées du bout du monde. J’ai adoré vous lire et regarder les magnifiques photos et vidéos.
    Je suis heureuse de vous savoir sur le chemin du retour et me réjouis de vous revoir.

    Encore BRAVO pour votre force, courage et persévérance.
    Bisous

  16. Coucou ! et ben bravo pour cette immense traversée !!! ça doit faire bizarre d’arriver au « but » ! On pense bien à vous ces temps car on rentre dans la période des 3 mois « pré-voyage »… ça vous rappelle des souvenirs ? ;o) dur de se motiver au boulot !

    Vraiment cool ce que vous avez fait ! profitez bien des mois qu’il vous reste !

    Enjoy et bravo pour les photos, elles sont toutes superbes.

  17. Superbe article, vous avez vraiment fait encore une fois un périple extraordinaire !

    Et revoir le Fitz à travers vos photos, quel grand moment!

    Vous vous êtes par arrêté au Perito Moreno??

    Bonne fin de voyage ! 😉

  18. Alors Lego ?????????
    vous y êtes ??????
    Viiiiiiiiiite des nouvelles de l’arrivée SVP
    Et BRAVO

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