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Cruzar la mitad del mundo

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Prendre le temps de vivre, goĂ»ter la vie d’un pays diffĂ©rent du nĂŽtre, rencontrer des gens merveilleux. Telle est notre expĂ©rience Ă©quatorienne depuis quelques jours…

Trois semaines dĂ©jĂ  que nous sommes arrivĂ©s dans la rĂ©gion de Quito en Equateur et nous avons atterris dans une casa de ciclistas. En AmĂ©rique du Sud, ces endroits sont un repĂšre et un refuge pour les cyclistes voyageurs de monde entier. Parfois seuls, parfois entourĂ©s d’autres cyclistes, nous partageons la vie de la famille Lara. Santiago, Ana Lucia, Michaela et Ana Carolina accueillent des cyclotouristes depuis plus de vingt ans. Leur gĂ©nĂ©rositĂ© est sans Ă©gal et on se sent comme Ă  la maison. L’espace de quelques jours, on dĂ©couvre une nouvelle famille qui gentiment devient une part de notre voyage. Une sorte de parenthĂšse dans les kilomĂštres pour tisser des liens humains !

Avant tout, revenons un peu sur la route qui nous a menés ici


AprĂšs avoir passĂ© une nuit entiĂšre Ă  poster notre derniĂšre vidĂ©o, nous avons fermĂ© la porte de l’hĂŽtel au wifi capricieux et avons repris la route. Nous attendaient alors quelques cĂŽtes bien hardues, vĂ©ritables portes d’entrĂ©e des Andes. De 300m d’altitude, nous avions comme objectif un col Ă  4050m avant de plonger dans la vallĂ©e oĂč loge Tumbaco, Cumbaya et surtout Quito. Les 50km de plat nous ont permis de chauffer la machine avant de rencontrer un relief de plus en plus accidentĂ© qui nous a conduits Ă  un terrain de volley sur lequel nous avons campĂ© aprĂšs 1500m de dĂ©nivelĂ©. L’accueil des gens locaux fĂ»t encore une fois merveilleux. On a mĂȘme eu le droit Ă  une douche ainsi que de l’eau pour nous concocter de quoi reprendre des forces. AprĂšs une nuit rĂ©paratrice, nous avons traversĂ© le village de El Reventador oĂč rĂšgne un volcan du mĂȘme nom quelques centaines de mĂštres au-dessus et qui prĂ©sente une forte activitĂ©. Malheureusement, nous en verrons que la base, la faute Ă  des nuages accrochĂ©s sur sa cime. Mais passer au pied d’un tel monstre nous force toujours Ă  nous rappeler combien nous sommes petits en face de la nature. Terre de volcans oblige, le relief nous fait mal aux jambes, Ă  peine montĂ©s Ă  2000m, nous redescendons Ă  1300 pour remonter une autres vallĂ©e. Les pentes s’accentuent, l’humiditĂ© s’intensifie, les mollets se dessinent et les joues se creusent en raison de l’effort quasi constant. La courbe de variation des tempĂ©ratures est comme celle de la route
.en haut
en bas
.parfois on transpire, parfois on a froid et quand cela ne suffit pas, des pluies diluviennes s’abattent sur nous sous la forme d’un rideau incroyablement dense. Les Ă©lĂ©ments ont beau s’acharner Ă  nous rendre l’ascension difficile, le sourire est lui, constant et toujours accrochĂ© Ă  nos visages. VĂ©ritables moteurs du mental, nos Ă©changes, nos fous-rires ou encore simplement notre joie nous poussent Ă  aller voir un peu plus loin ce qu’il s’y cache. On partage une soirĂ©e avec cinq cyclistes colombiens au bord d’une riviĂšre et au travers d’une chaleureuse soirĂ©e, nous apprenons Ă  cuisiner la Quinoa ou encore le cafĂ© Ă  la mode colombienne.

Le lendemain, Ă  l’image du tour de france, les choses sĂ©rieuses commencent
pour nous, sans dopage, nous attaquons la cĂŽte qui nous mĂ©nera Ă  Papallacta 1800m plus haut. On passe de 30°C Ă  3°C et du soleil au brouillard. La petite ville suspendue aux flancs de la montagne abrite des thermes mais que nous ne visiterons pas.

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Le couronnement de la journĂ©e aura Ă©tĂ© marquĂ© par plusieurs peties choses : Nos premiers lamas vus
une mozzarella locale dĂ©licieuse et une trouĂ©e dans le brouillard qui nous aura permis d’entrevoir un sommet enneigĂ© appartenant au volcan Antisana. A eux trois, aprĂšs une dure journĂ©e, ils auront eu le mĂ©rite de nous faire couler les larmes. C’est fou comme dans un voyage tel que le nĂŽtre, les choses les plus simples sont source d’un bonheur incomensurable.

 

« …Le coeur, les yeux et l’ñme ont appris et apprenent encore Ă  se satisfaire de peu… »

Au rĂ©veil , le brouillard est persistent, dense, humide et on reprend la route remplis de dĂ©termination pour atteindre le col. Il nous reste Ă  ce moment “seulement” 700m de grimpette mais l’altitude commence Ă  se faire sentir et combinĂ©e Ă  la forte pente, on rĂ©duit notre moyenne
 Qu’à cela ne tienne, notre mental reste inchangĂ© et lors du passage au col, on est rempli d’émotion
franchir la barre des 4000m sur un vĂ©lo est une expĂ©rience UNIQUE. L’humiditĂ© du brouillard et nos larmes forment une douce potion qui coule le long de nos joues. Mais les larmes de joies sont les plus belles et bien qu’éphĂ©mĂšre sur nos visages, l’empreinte restera longtemps gravĂ©e dans nos mĂ©moires.

Un regard Ă©changĂ© et on comprend qu’on ne peut pas redescendre de lĂ  tout de suite, comme si rien ne s’était passĂ©. Nous vient alors l’envie de camper par ici
 On trouve une petite route en cailloux qui s’enfuit dans la montagne et s’élĂšve encore un peu. C’est fou comme 200m de montĂ©e peuvent ĂȘtre difficile Ă  cette altitude lĂ . Mais heureusement, aprĂšs un doux calvaire on arrive prĂšs d’un lac et c’est le spot parfais pour y planter notre maison de tissus. Pour remercier notre corps de l’effort de ces trois derniers jours, on lui offre de l’avoine chaud au chocolat en poudre
un vrai rĂ©gal aprĂšs tant de calories brulĂ©es. Le brouillard tenace nous empĂȘche de voir plus loin que 50m et c’est sans aucune notion de ce qui nous entoure que nous passons l’aprĂšs-midi. On complĂšte nos besoins alimentaires avec de la Quinoa avant de filer tout droit rejoindre nos rĂȘves nocturnes. Malheureusement, la nuit est entrecoupĂ©e de mini rĂ©veils car l’altitude provoque quand mĂȘme de drĂŽles de sensations dans le corps. Les premiĂšres lueurs du jour nous tirent d’un sommeil peu profond et nous poussent Ă  sortir nos tĂȘtes de la tente et là
Stupeur ! En face de nous le volcan Antisana qui culmine Ă  5750m et dont la base mesure 14km de diamĂštre, vĂ©ritable monstre de roches et de glace. L’Equateur nous livre ainsi un vestige endormi de son histoire gĂ©ologique et Ă  la vision d’une telle montagne, on peine Ă  expliquer ce que nous ressentons. C’est aussi un des rares endroits en Equateur oĂč les condors volent et veillent sur les hommes depuis des milliers de mĂštres d’altitude. Ils resteront un mythe pour nous
peut-ĂȘtre aurons-nous la chance d’en voir plus loin dans le voyage.

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Au deuxiĂšme plan, le volcan Cotopaxi nous fait de l’oeil. C’est le plus haut volcan actif d’Equateur Ă  prĂšs de 5900m et en le voyant, on ne peut s’empĂȘcher d’avoir envie de le gravir. Affaire Ă  suivre !!!

La mĂ©tĂ©o nous aura offert deux heures de clĂ©mence. Le temps de prendre un dĂ©jeuner et deux cafĂ©s avant de tout packeter. La descente est rapide et ça caille
C’est probabalement dĂ» Ă  nos nouveaux records de vitesse
83km/h pour ma cycliste folle et enfin la barre des 90 franchie avec 91 pour moi. DĂ©coiffant !

ArrivĂ©s Ă  Tumbaco aprĂšs 40km de folie, on dĂ©barque dans la casa de ciclistas chez Santiago. C’est un havre de paix oĂč il fait simplement bon vivre. Le temps passe, de frĂšles racines commencent Ă  pousser sous nos pieds et on s’y sent bien. Marie en profite pour s’offrir 4 jours de sport intense sous la forme de course Ă  pieds entre la tente et les toilettes ! C’est pas le pire des endroits pour ĂȘtre malade
la faute Ă  un riz-poulet hecho en Quito lors de notre journĂ©e passĂ©e dans la ville longue de 48km !

Quant Ă  moi, aprĂšs avoir servi des thĂ©s ou tout ce dont elle a besoin, je dĂ©couvre un peu la rĂ©gion du haut de mon vĂ©lo vide et entourĂ© de Santiago ou de Johan Manuel, un jeune cycliste prometteur. Mon esprit de compĂ©tition s’affĂ»te Ă  nouveau et la vieille voie ferrĂ©e convertie en trail piĂ©tonnier nous offre Ă  Johan et moi un terrain de jeu sans limite. (oui oui, il s’appelle bel et bien comme moi)

Une fois Marie sur pieds, on profite de marcher un peu en montagne et on grimpe ainsi au Ruco Pinchincha Ă  4700m ou encore au refuge des Illinisaz Ă  4800m. L’ivresse de l’altitude et la joie de fouler les montagnes de cette rĂ©gion du globe nous rendent ivres de bonheur mĂȘme si parfois l’altitude nous rappelle que nous devons pas aller trop vite.

Vivre si longtemps dans une casa de ciclistas est aussi la source de rencontres magiques avec d’autres cyclistes. Hector, un chilien en route pour le tour de l’AmĂ©rique du Sud, Toribio, un cycliste catalan en route pour quelque part, SĂ©bastien, un colombien parti pour la Patagonie, des allemands en lune de miel sur un drĂŽle de tandem “assis-couchĂ©â€, Daniel qui file aux Galapagos ou encore un couple “français-chinoise” qui pĂ©dale sur un tandem avec une remorque en forme de Belouga. Mais le plus marquant aura Ă©tĂ© la rencontre avec Nando PadrĂČs, un salopard d’espagnol J qui affiche sept annĂ©es de routes en tous genres. Parti de l’Europe et de sa Catalogne natale, il a parcouru l’Europe, l’Est avant de plonger au sud en direction du continent africain oĂč il a traversĂ© 29 pays, attrapĂ© 9 malarias et sans compter le CholĂ©ra ou d’autres choses. Mais quand il parle du continent oubliĂ©, ses yeux brillent et son enthousiasme dĂ©bordant le pousse Ă  parler des heures de ses rencontres, de ses dĂ©couvertes mais aussi de ses peines. Nous, pauvres voyageurs Ă  l’expĂ©rience minuscule, buvons ses paroles en nous demandant ce que pourrait ĂȘtre la vie lĂ -bas. AprĂšs quelques soirĂ©es, quelques biĂšres et des heures de discusssions, nous avons tissĂ© un lien fort avec ce voyageur atypique Ă  la personnalitĂ© dĂ©coiffante et bousculante. Il ponctue son chemin d’arrĂȘts dans les orphelinats pour aider les enfants. Parfois il dĂ©barque avec deux tonnes de nourriture qu’il a pu rĂ©colter auprĂšs de gens plus aisĂ©s et il met tout en oeuvre pour que les enfants puissent en disposer dans les meilleures conditions possibles. Modeste, authentique, passionnĂ©, gĂ©nĂ©reux et casse-couilles sont les mots qui le dĂ©finissent le plus ! Merci Nando !

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A l’heure oĂč nous postons ces nouvelles, nous revenons de notre ascension du Volcan Cotopaxi Ă  5897m. Nous sommes partis avec un guide depuis Quito et avons roulĂ© en voiture jusqu’à un refuge Ă  4000m oĂč nous avons eu droit Ă  un dĂźner pour faire le plein d’énergie. De lĂ , nous sommes montĂ©s l’aprĂšs-midi mĂȘme jusqu’à un campement d’altitude Ă  4800m, histoire de nous mettre en jambes. Au lit de 18h Ă  minuit, nous avons ainsi goĂ»tĂ© le bonheur de dormir lĂ  oĂč il y a moins d’oxygĂšne. AprĂšs un rĂ©veil pĂ©nible et un petit dĂ©jeuner parfait, nous sommes partis avec notre guide en direction de la neige et de la glace. A partir de ce point, la suite se fait en crampons et encordĂ©s. AprĂšs une petite heure, la barre des 5000 est franchie et dĂ©jĂ  on se rend compte qu’on est en route pour une nouvelle aventure qui marquera notre voyage ou un peu plus. Trois destins nouĂ©s autour d’une corde, quatre pieds qui se suivent et font confiance aux deux de devant et surtout la volontĂ© de tout faire pour aller au sommet. Peu aprĂšs, la montagne nous rappelle que nous ne sommes pas grand chose
le vent se lĂšve fort et la neige tombe Ă  plat. Rapidement, nous ressemblons au signe du Ying et du Yang avec un cĂŽtĂ© tout blanc. On enjambe les crevasses gaiement et on rattrape notre guide lorsqu’il chute de trois mĂštres dans l’une d’elles
sympa ! Les conditions sont difficiles et l’altitude se fait sentir de plus en plus. Les pas deviennent lourds et le souffle de plus en plus court. Les premiĂšres lueurs du jour nous accompagnent pour les derniers hectomĂštres de l’ascension et six heures aprĂšs ĂȘtre partis, nous foulons enfin le sommet du Cotopaxi Ă  5897m ! A ce moment lĂ , tout est un peu confus dans nos tĂȘtes
mais l’émotion reste le sentiment le plus fort. La souffrance physique fĂ»t quand mĂȘme importante dans les trois derniĂšres heures de montĂ©e. Des maux de tĂȘtes incisifs aux jambes d’une tonne chacune ou encore le souffle court combinĂ© Ă  l’impression d’étouffer, notre corps a vĂ©cu lui aussi une expĂ©rience nouvelle et forte Ă  la fois. Histoire de bien terminer, on fait le tour du cratĂšre et on redescend par le cĂŽtĂ© nord oĂč on traverse un immense champ de glace avec des sculptures naturelles merveilleuses.

A noter aussi que nous avons vu notre premier Condor en plein vol
Magique !

Voici la vidéo du sommet
rien que pour vous : Séquence émotions

Image de prévisualisation YouTube

Samedi, nous allons partir de Tumbaco en direction du sud. Si tout va bien, nous allons quitter cette incroyable maison avec Nando et partager ainsi la route pour un moment. Ce sera une occasion de rouler un peu avec lui et voir ainsi les choses avec deux yeux en plus
?!

Ne manquez pas notre galerie évidemment !

On pense bien à vous tous en Suisse et on profite de ce post pour féliciter Gwen, Ben et Norah qui ont accueilli un nouveau membre dans leur famille. Bienvenue Erwan !

A bientĂŽt pour la suite de nos aventures

Marie et Johann

14 Comments

  1. FĂ©licitations pour cette belle ascension 🙂
    ça faisait un moment que j’avais plus suivi vos aventures, content de voir que tout va bien! Take care

  2. ouh la la ! J’ai partagĂ© votre Ă©motion du sommet. On n’entend pas vos paroles mais on sent tellement d’autres choses ! Pourquoi parle-t-on de l’ivresse des sommets ? J’ai presque pu lire sur vos visages ce Ă  quoi vous pensiez dans ce moment-lĂ  ! Ma-gni-fi-que !
    Oui ! bienvenue Ă  Erwan qui s’est posĂ© Ă  Yverdon hier et Karine et Boutchou qui atterissent Ă  Paris dimanche 🙂

  3. J’en ai les larmes aux yeux rien que de vous voir sur ce volcan. Ça doit ĂȘtre immense et trĂšs Ă©mouvant d’arriver au sommet. En plus avoir vu le cafĂ© Condor en vol (Johann comprendra!) c’est le pied. Soyez prudents sur la route afin de faire un max d’expĂ©rience comme celle-ci. Bravo les Legos et bisous.

  4. bravo pour votre avancée que nous suivons toujours avec gourmandise.

    Super votre ascension du Cotopaxi. Impressionnant. Et en plus, c’est vous qui avez « rattrappé » le guide dans une crevasse.

    Et ton record de vitesse en descente Ă  91 km/h, comment se comportait la remorque ? C’est probablement son poids qui t’avantageait et t’a permis de doubler Marie (tu avais rajoutĂ© des cailloux).

    Si vous voulez voir beaucoup de condors, lorsque vous serez au PĂ©rou, au dessus d’Arequipa, mettez Ă  votre programme le canyon de la Colca. Vous ne le regretterez pas.

    J’ai repensĂ© Ă  vous rĂ©cemment. De retour aux USA dĂ©but juin (mais en Californie, pas en Alaska cette fois), j’ai passĂ© (en voiture) le Tioga Pass, puis la route Ă  l’Est de de Sierra Nevada en direction du Sud, route oĂč vous vous Ă©tiez gelĂ©s cet hiver. Et j’ai bien notĂ© que lorsque la route est Ă  2 voies sĂ©parĂ©es, la portion de droite (oĂč vous deviez rouler en vĂ©lo) est souvent de mauvaise qualitĂ© et rainurĂ©e.

    Bonne continuation.

  5. SU-PER-BE ! FĂ©licitations pour votre ascension ! On est passĂ© au pied du Cotopaxi, et dĂ©jĂ  on Ă©tait bien impressionnĂ©s… alors on imagine en haut ! Beau moment d’Ă©motion. A bientĂŽt !

  6. Super news! Un immense bravo pour et exploit Ă  5800m, j’ose pas imaginer la difficultĂ© de cette ascension !

  7. Bravo, toujours autant de plaisir à vous lire. Quelle énergie développée.Bonne continuation Charly et Isabelle

  8. magnifique merci pour vos nouvelles et vos belles photos bonne continuation bisous

  9. C’est toujours avec un trĂšs grand plaisir et une immense admiration pour tout ce que vous faites que je lis vos rapports. Quelle chance de pouvoir vivre tout cela et quelle volontĂ©! Magnifique! Toutes mes amitiĂ©s Catherine

  10. coucou vous!

    Quelle Ă©motion de voir cette vidĂ©o, oulala, les larmes m’en coulaient aussi….(C’est d’ailleurs cet esprit et cette volontĂ© que vous avez que je vous demanderai de transmettre Ă  votre filleul et neveu s’il vous plaĂźt les Legos:))

    Bonne suite et pleins de bisoux, pensées et priÚres!

  11. Merci pour les bonnes nouvelles !!! Toujours aussi cool de vous lire … Bonne continuation et prenez soin de vous. bisous ;o)

  12. ouououhhhh lalalala…….que d’Ă©motions…pppfff….magnifique vos aventures…mais attention quand mĂȘme hein..??? ok…bon d’accord !!! j’arrĂȘte… hihihi…ici c’est bcp plus calme lol…il fait enfin un peu chaud 28°…eh oui mĂȘme Ă  La Tine Beach on a du beau temps et du chaud…ouais…c’Ă©tait le moment que ça arrive !!!
    On pense souvent Ă  vous deux, on se rĂ©jouit de vos pĂ©riples et de vos belles rencontres, c’est vraiment une expĂ©rience magnifique et magique…continuez Ă  vous faire plaisir et Ă  nous en mettre plein les yeux et les oreilles, hihihi….bravo pour vos exploits..RESPECT…
    On vous embrasse fort depuis nos « p’tites montagnes suisses » qui ont bien verdit…becs becs becs…;-)

  13. Magnifique! Quelle Ă©motion, je suis tellement heureuse pour vous!

    Merci pour vos récits, toujours un super moment!

    Bisous Ă  vous deux,
    Carine

  14. Quelle grande avancée !!

    Vous devez avoir de magnifiques images plein les yeux, pourrez-vous les garder Ă  jamais dans vos tĂȘtes ? C’est une aventure formidable que vous vivez et que vous nous faites partager. C’est magnifique !!!!!

    Bonne route, ralentissez un peu le rythme, surtout en altitude 😉

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